Lors de notre dernière matinée, nous avons entendu quelques contes et légendes dans les jardins de l'abbaye de Beauport.
Tout d'abord, nous avons rencontré une drôle de mémé qui nous a raconté une histoire qui parlait de la mer, du vent et de la lune. Elle a expliqué le phénomène des marées d'une façon hautement scientifique : la mer et le vent sont tombés amoureux et ont dansé de façon fofolle ce qui a provoqué une tempête. Dès lors, la mer a été condamnée à aller voir la lune, deux fois par jour, pour lui dire si elle était bien sage.
Un peu plus loin sur le chemin, nous avons entendu l'histoire d'un arbre : le sureau. Un jeune garçon, parti chercher des fleurs de sureau afin de faire de la limonade, rencontre une sorcière vivant dans sa chaumière. Elle lui remet une petite bourse et lui demande de revenir 10 ans plus tard.
Honorant sa promesse, il revient et apercevant la sorcière de taille géante, il prend peur et lui demande de se transformer en coccinelle. Il l'attrape et l'enferme dans la bourse offerte que lui seul peut ouvrir. En rentrant chez lui, il lance bourse et sorcière dans le feu pour les faire brûler. Par superstition, il récupère les cendres dans une boîte afin de les jeter à la mer. Mais le vent s'en mêle et les éparpille.
Il est dit qu'à chaque endroit où les cendres sont tombées, un sureau aurait poussé. C'est pour cela qu'on appelle le sureau : "l'arbre à sorcières". Cet arbre a des bourgeons qui font penser aux verrues de la sorcière, l'écorce de l'arbre est fissurée comme les rides profondes de la sorcière et quand le sureau grandit, les branches se recroquevillent comme ses bras. Depuis ce jour, quand on veut cueillir des fleurs de sureau, il faut dire la formule magique "Ma fille, donne-moi de ton bois, je te donnerais du mien quand arbre, je serais" afin de ne pas attraper le mauvais sort.
Nous avons continué à marcher dans une forêt et nous avons retrouvé la mémé au détour d'un chemin. Elle nous a raconté une histoire qui parlait des korrigans et d'un paysan contraint de danser jusqu'à l'aube en leur compagnie. Pour ne pas mourir de fatigue, il devait trouver des énigmes lui permettant ainsi de se reposer le temps que la solution soit trouvée par les korrigans.
Après le déjeuner, nous nous sommes rendus à la Chapelle de Kermaria. Là, nous avons fait une chasse au trésor aux alentours et à l'intérieur de la Chapelle. Par groupes, il fallait retrouver des petits papiers soigneusement cachés qui nous menaient vers un nouvel indice. Tous les indices réunis nous conduisaient vers un endroit. Dans ce lieu était caché un trésor qu'il fallait chercher.
De retour, nous avons pris un goûter, fait une rapide récréation et nous avons remercié les animateurs du centre et tous ceux qui y travaillent et qui se sont occupés de nous (Séverine, Philippe, Kenneth, Laurence, Yann, Laurent, Paulette, Armelle, Annie, Sylvie, Laëticia et Julien). Nous avons dit au revoir et avons repris le car. Direction St Etienne de Mer Morte !
Pendant le trajet, nous avons papoté, dormi pour certains, joué, écouté de la musique et chanté. Après un petit pique-nique, nous sommes repartis pour la dernière ligne droite et avons regardé un dessin animé en mangeant 3-4 bonbons.
Soudain, en arrivant à St Etienne, Loïc, notre chauffeur super sympa, a klaxonné pour prévenir de notre arrivée. Il était 22h, l'heure de retrouver nos familles.
Tout d'abord, nous avons rencontré une drôle de mémé qui nous a raconté une histoire qui parlait de la mer, du vent et de la lune. Elle a expliqué le phénomène des marées d'une façon hautement scientifique : la mer et le vent sont tombés amoureux et ont dansé de façon fofolle ce qui a provoqué une tempête. Dès lors, la mer a été condamnée à aller voir la lune, deux fois par jour, pour lui dire si elle était bien sage.
Un peu plus loin sur le chemin, nous avons entendu l'histoire d'un arbre : le sureau. Un jeune garçon, parti chercher des fleurs de sureau afin de faire de la limonade, rencontre une sorcière vivant dans sa chaumière. Elle lui remet une petite bourse et lui demande de revenir 10 ans plus tard.
Honorant sa promesse, il revient et apercevant la sorcière de taille géante, il prend peur et lui demande de se transformer en coccinelle. Il l'attrape et l'enferme dans la bourse offerte que lui seul peut ouvrir. En rentrant chez lui, il lance bourse et sorcière dans le feu pour les faire brûler. Par superstition, il récupère les cendres dans une boîte afin de les jeter à la mer. Mais le vent s'en mêle et les éparpille.
Il est dit qu'à chaque endroit où les cendres sont tombées, un sureau aurait poussé. C'est pour cela qu'on appelle le sureau : "l'arbre à sorcières". Cet arbre a des bourgeons qui font penser aux verrues de la sorcière, l'écorce de l'arbre est fissurée comme les rides profondes de la sorcière et quand le sureau grandit, les branches se recroquevillent comme ses bras. Depuis ce jour, quand on veut cueillir des fleurs de sureau, il faut dire la formule magique "Ma fille, donne-moi de ton bois, je te donnerais du mien quand arbre, je serais" afin de ne pas attraper le mauvais sort.
Nous avons continué à marcher dans une forêt et nous avons retrouvé la mémé au détour d'un chemin. Elle nous a raconté une histoire qui parlait des korrigans et d'un paysan contraint de danser jusqu'à l'aube en leur compagnie. Pour ne pas mourir de fatigue, il devait trouver des énigmes lui permettant ainsi de se reposer le temps que la solution soit trouvée par les korrigans.
Après le déjeuner, nous nous sommes rendus à la Chapelle de Kermaria. Là, nous avons fait une chasse au trésor aux alentours et à l'intérieur de la Chapelle. Par groupes, il fallait retrouver des petits papiers soigneusement cachés qui nous menaient vers un nouvel indice. Tous les indices réunis nous conduisaient vers un endroit. Dans ce lieu était caché un trésor qu'il fallait chercher.
De retour, nous avons pris un goûter, fait une rapide récréation et nous avons remercié les animateurs du centre et tous ceux qui y travaillent et qui se sont occupés de nous (Séverine, Philippe, Kenneth, Laurence, Yann, Laurent, Paulette, Armelle, Annie, Sylvie, Laëticia et Julien). Nous avons dit au revoir et avons repris le car. Direction St Etienne de Mer Morte !
Pendant le trajet, nous avons papoté, dormi pour certains, joué, écouté de la musique et chanté. Après un petit pique-nique, nous sommes repartis pour la dernière ligne droite et avons regardé un dessin animé en mangeant 3-4 bonbons.
Soudain, en arrivant à St Etienne, Loïc, notre chauffeur super sympa, a klaxonné pour prévenir de notre arrivée. Il était 22h, l'heure de retrouver nos familles.